Café la parroquia, Veracruz, migrantes de entonces

Mi amigo Juan Antonio, ciudadano de Valle de Bravo, Estado de México, Republica mexicana, me manda un video de recuerdo del café La Parroquia en Veracruz. El comentario insiste sobre los inmigrantes que solamente hablaban árabe y venían de « Siria, Líbano, Israel » … en una época en la cual no existían ninguno de estos « países », solamente el imperio otomano que luego se transformó en Turquía… No cabe duda que este pequeño video lo ha hecho alguien que conoce bien esta « comunidad árabe ». Para los lectores/ oyentes que no entienden el castellano, he aqui la traducción de lo que dice este video

A la fin du XIXe siècle, le Café La parroquia avait un rôle prépondérant pour la correspondance entre les immigrants et leurs familles d’origine. Les lettres de celles-ci étaient envoyées à l’adresse du Café. Les migrants venaient « de France, d’Allemagne, d’Espagne, de Syrie, du Liban, d’Israël ». Ces derniers surtout affrontaient le fait qu’au port de Veracruz à peu près personne ne savait l’arabe.

Les lettres s’accumulaient dans une boite et femmes et hommes venaient demander s’il y avait quelque chose pour eux. Lettres d’amour ou de famille, bonnes nouvelles, tristesses partagées. Jusqu’au milieu du Xxe siècle, le Café a servi de poste restante. Si bien que Correos de México vient d’émettre un timbre commémoratif.

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