Les funambules, Mohamed Aïssaoui, Gallimard, 2020, 219 p.
Ce récit a bien sûr une part d’autobiographie. Il nous parle d’un homme qui prend le métier de « biographe pour anonymes ». Il se plonge dans le milieu associatif d’aide aux plus démunis (restos du cœur, etc.). Avec un fil rouge très mince : retouver un amour de jeunesse.
Bien écrit, il est plein d’anecdotes frappantes sur ce « quart monde » de la société française. Le titre (funambule) concerne ceux qui à tout moment risquent de tomber, en équilibre sur le fil de la vie.
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